Vendredi 13 juillet (malédictionnnn !) 2006 (ouah, mon histoire est futuriste !), 19H00.
Sandy, Bobby, Jimmy, Johnny, Jenny et malencontreusement, Peggy la petite truie, descendent de la Jeep jaune de Johnny (sérieusement, vous trouvez pas que ça swingue ? « la Djeep Djaune de Djohnny ! » Yeah !).
Il faisait nuit et...pas froid, pas froid du tout. C’est pour cela que Sandy portait un t-shirt blanc et moulant (comme par hasard, au cas où il y aurait une flaque d’eau et qu’elle trébucherait dedans). Pareil pour Peggy, qui portait une robe blanche moulante avec de gros pois rouges qui lui arrivait au dessus des genoux, laissant voir ses jambonneaux. Certainement beaucoup moins appétissante pour la gente masculine : ses bourrelets sortaient de parts et d’autres, déformant sa robe. Elle portait un chapeau en paille blanc orné d’un gros nœud rouge qui cachait sa tignasse bouclée, blonde et grasse et à ses pieds, des sandales montrant ses gros doigts de pieds qui ressemblaient à des saucisses cocktail. Jenny était en short noir et portait un t-shirt de…non, c’est trop horrible à dire ! Elle portait un t-shirt de…de Gackt !!! Ce qui horrifiait Johnny, et je dois avouer que moi aussi, pas vous ? O_O
En parlant de Johnny, il était vêtu d’une chemise à carreaux rouge et noir, d’un jean délavé et troué au niveau du cul et de bottes. Jimmy et Bobby…ben ils étaient pas à poil et c’est ce qui compte ! *feignante*
Notre groupe se dirige donc vers le manoir lugubre. L’entrée était crade : les rideaux des portes et des fenêtres du salon étaient repeints de merde. Oui, de merde ! Le sol était une mare de sang. Mais les pires endroits de ce manoir n’étaient pas le salon ni l’entrée . Non, le pire c’était la salle de bain et la chambre.
Le lit de la chambre était grand. Sûrement un lit quatre places.
« -Peuh ! Le mien est beaucoup plus grand ! , remarqua Peggy.
-Ouais mais toi, c’est normal ! », répondit Jenny.
La personne qui dormait dans cette chambre est ou était sûrement un obèse, ou bien un grand adepte de la partouse !
Des tonnes de posters de Gackt ornaient (si je peux vraiment dire « orner » en parlant de photos de Gackt >_<) la chambre, ce qui provoqua le plus grand cri horrifique et collectif de l’histoire du film d’horreur américain, voire du film d’horreur tout court. Vous savez ce :
« AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHH !! »
Que tous les acteurs de films d’horreur se doivent de savoir faire.
Dans la salle de bain gisaient des seringues de collagène, des perruques blondes et des cuisses de poulet.
« Oh !, remarqua Jenny, grande fan de Gackt. Ca ressemble aux cheveux de Gackt sur le poster que j’ai dans ma chambre ! »
Tintintin ! Jenny venait de lever un doute pesant : est-ce que l’horrifique, le gerbant, l’horripilant, le catastrophé de la chirurgie esthétique, le ravagé de la face Gackt habitait ici ?
SUDDENLY ! (Soudainement !)
NOTHING ! (Rien !)
Nan, je rigole ! Soudainement, un crissement insupportable retentit : cela ressemblait à un métal qui griffait le sol.
Puis une horrible créature, mi-homme/mi-poulet essaya d’éclater la porte d’un coup de hache. La porte ne s’éclatait pas. La créature s’énerva et cria, d’un son de pet foireux qui monte de l’aigu au grave telle une vague. Exactement, un son de pet foireux :
« AaAaAaAaAaAaAaAaAaAaAaAaHhHhHhH !!!! »
La porte céda, non pas au bout du 40eme coup de hache qu’il a donné mais en tournant simplement la poignée. La tension et la peur montaient au milieu du groupe tandis que le monstre se rapprochait.
Tout d’un coup Jenny cria :
« Aaaah ! C’est Gackt-sama !!! »
Le poulhomme (néologisme de « poulet » et d’ « homme ») s’approcha en criant foireusement. En effet, ce poulhomme, c’était GAC-KU-TO !!
« AaAaAaAaAaAaAhhhh ! », criait le bougre.
Notre groupe s’enfuit en courant et en chialant. Surtout Johnny, effrayé par Gackt depuis l’époque où il s’est « fait défaire » (et non pas refaire) la tronche, ou plus récemment, depuis qu’il s’était teint en blond Madonna !
Gacktopoulet les poursuivait; ils allaient tellement vite que ses pattes de poulet s’emmêlèrent et il tomba. Le groupe s’arrêta et se retourna : ils virent Gackt, étendu par terre, ne bougeant plus. Mais il releva brusquement la tête, sa sale tête toute moche, beurk ! On pouvait voir ses côtes tellement il était maigre, ce chicken ! Il se remit à courir après le groupe, qui se dirigeait vers la forêt.
La forêt était sombre. On voyait le clair de Lune. Il n’y avait plus aucune trace de Gackt, alors le groupe décida de faire le point.
Bobby, amoureux des plantes, vit une plantation de Cannabis et voulu prendre quelques feuilles histoire de se rouler un pet’ .
Pendant qu’il faisait sa cueillette, une ombre sortit de sa cachette : un arbre. Mais qui était assez maigre pour se cacher derrière un bonzaï ? GAC-KU-TO !!!
L’ombre s’approcha de Bobby, qui se retourna :
« - C’est quoi, c’machin ?
-C’est MoIiIiIiIi ! » (veuillez excusez les dialogues à la con, mais qu’attendez vous de la part de Gackt ?! >_<)
Le cri de Bobby retentit dans toute la forêt. Bobby était essoufflé : Gackuto gagnait en rapidité. D’un coup, poulhomme poussa un cri (toujours aussi foireux en passant) :
« AaAaAaAaAaAaAaAaAa’ »
Gackt n’avait plus de voix, ce qui expliqua que la fin de son cri a encore plus foiré que d’hab’ . Mais ce qui n’avait pas foiré, c’était sa capture. En effet, il avait sauté sur Bobby et lui tenait maintenant le pied. Bobby gigotait dans tous les sens. Gackt décida qu’il était plus judicieux de défroquer son adversaire. En un coup de patte (de poulet), Bobby était à poil et continuait de gigoter et Gackt, essayant de le trancher avec sa hache pourrie, recevait des jets de pisse de Bobby, qui n’avait aucune égratignure.
Après 34 coups de hache, le poulhomme n’avait même pas blessé Bobby. Il lui mit alors un grand coup de patte (de poulet) dans le bide, coupant notre Pascal Shwartzenegger (Pascal Sevran + Arnold Shwartzenegger, désolée, je sais pas comment ça s’écrit >_<) en deux. Lorsque notre groupe arriva, Gackt venait de manger Bobby, dont il ne restait que les os. Gackt sautait et rigolait (ce qui le rendait encore plus vomitif). Lorsqu’il frappa le sol de sa patte (de poulet), « Vanilla » (une de ses songs) retentit dans toute la forêt et il se mit à dandiner son corps de poulhomme, envoyait des plumes sur notre groupe, mettait ses bras au dessus de sa tête, tel une danseuse étoile et tournait sur lui-même avec la grâce d’un poulet. Ses bras, jusque là encore humains, étaient devenus des ailes de poulet.
Il rigolait avec un sourire crispé de constipé collé aux chiottes se disant : « C’est bon. Tout va bien se pass’ *ignnnnnnn* ! » :
« Hihihahahohohohohohahahahahohohohhihihi »
Sandy s’approcha et lui dit :
« Tu sais, tu vas grossir puisque tu as mangé Bobby ! »
Gackt tourna dans tous les sens, essayait de s’envoler mais retombait comme une merde.
Il se releva, arracha une plume et la porta à sa bouche. D’un seul coup, un vieux bruit retentit. On aurait dit un bruit de bouillie qu’on jette sur le sol) et le corps désossé de Bobby sortit sur un lit de gerbe rose et jaune.
Gackt se caressait le ventre et le rentrait autant qu’il le pouvait : c’était pire qu’un creux, c’était un cratère. >_<
Jimmy s’approcha du cadavre et dit :
« Hé mais où`est la tête ?!? »
En effet, le corps de Bobby était décapité et en 3 parties : le tronc, les jambes et la tête.
Gackt paraissait affolé et poussait des gémissements; il essayait de se faire vomir mais ne gerbait que du collagène : Gackt ressemblait maintenant à un bulldog !!
Rapidement, Peggy se mit en boule et roula jusqu’à Gackt. Elle se releva en élevant ses jambes en premières puis le tas de graisse qui lui servait de corps en dernier (à la manière des Street Fighters XD).
Elle fit un saut vers le côté et lança une pilule laxative dans sa bouche.
La réaction fut immédiate : Gackt se tenait le bide en poussant des petits cris et en froissant sa tronche de bulldog. Un bruit de pet puis de coulis se fit entendre mais sentir aussi (>_<). Dès lors, la tête de Bobby sortit du cul de Gackt, fit quelques loopings aériens et retomba en s’encastrant dans le cou du cadavre de Bobby.
Sandy s’approcha du cadavre de Bobby, mais Gackt lui mit un coup de griffe dans le bras.
Peggy, le tas de graisse se mit à chanter, en guise de vengeance, une chanson de Hyde. Elle se mit à dandiner sa graisse et à faire la danse du ventre. Le Hic, c’est qu’elle a fait gerber son équipe, mais elle a quand même fait gerber Gackt !
« AaAaAaAaAaAaAaAaAaaaaAh ! » cria Gackt qui se mit à poursuivre le groupe.
Hélas, notre groupe se sépara accidentellement : Johnny, Jimmy et Jenny vers l’Ouest, Sandy vers l’Est et Peggy vers le centre.
Notre trio avait atterri Dieu sait où, dans un jardin, peut-être ?
Ils avaient marché plusieurs fois dans des crottes de chiens et dans des fientes de poulet : Ils ne savaient pas où ils mettaient les pieds. Brusquement, une silhouette, enfin, la silhouette de Gackt apparut.
Après s’être époumoné, notre trio sentait que la créature prenait de l’avance. La course devenait de plus en plus serrée quand Jimmy glissa sur une merde et se rétama comme la chose du même nom, ce qui provoqua la chute de ses deux autres compagnons. L’affreux s’approcha et asséna un coup de patte (de poulet) si fort qu’il s’éclaboussa de merde, le bougre ! Donc, ces cons là sont morts, c’est fait... Retournons donc avec Sandy !
Sandy était retournée au manoir. Comme elle avait vu que le monstre n’était pas allé dans sa direction, elle décida d’aller dormir dans la chambre de la bonne. Lorsqu’elle se réveilla, elle vit Gackt au dessus de sa tête (oh, la pauvre !). De là où elle était, Gackt ne ressemblait vraiment à rien (ah, c’est nouveau ça ? Tiens tiens...>_<). Elle se leva d’un bond et se mit à courir.
Bien sur, Gackt la suivait (mais qu’il est chiant, çui là !). Arrivée dans la chambre de Gackuto, elle se vengea de la griffure qu’il lui avait fait, en arrachant tous les posters de cette immondice sur pattes (de poulet). N’imaginez-vous pas la fureur qu’a eu Gackt, l’égocentrique en plastique ?
Justement, Gackt colle une grosse tarte à la pauvre Sandy. Mais Sandy se releva, se rendit en hâte dans la salle de bain, prit ses seringues de collagène, les mélangea à de l’alcool à 90° et les lança sur Gackt. Le poulhomme était maintenant un bulldog frit !!
Sandy s’enfuit du manoir en sautant par la fenêtre (waw !Y’a de l’action !) et courut jusqu’au jardin mais trébucha dans une gigantesque flaque. Là, je vous vois !! :
*1* Vous bavez devant le t-shirt mouillé.
*2* Vous vous dîtes « mais elle va se relever, cette conne, oui ?!? »
*3* Vous vous dîtes « Crève charogne ! »
Sandy se releva, le t-shirt mouillé, après avoir attendu Gackt, des fois qu’il veuille se venger... mais il ne vint pas. Alors elle continua tranquillement sa route, et vit soudain une autoroute ! Elle courut de toutes ses forces vers la route éclairée par les phares de voitures.
Elle était enfin sur la voie, attendant une voiture pouvant l’aider. Une voiture apparut, s’arrêta à quelques mètres devant Sandy. Sandy était contente : tout allait enfin se terminer, MAIS (oui, il y a un MAIS)
le conducteur, c’était GAC-KU-TO !!!
Il accéléra alors et écrasa la pauvre Sandy, qui n’avait rien compris...
Retournons donc à notre surprise : Peggy. Oui, cette truie est encore vivante !
Peggy, elle, avait atterrit dans un hangar. Elle s’y promena, y chercha de quoi bouffer, bien sur ! Mais elle aperçut l’objet qui allait l’aider à sortir de cet en enfer : un hamburger !!! Oui, il était dans le panier posé sur le guidon d’une vieille mobylette !
Après s’être goinfrée de ce met fort goûteux (XD), la bougresse empoigna le guidon et enfila ses jambes plus que dodues sur les pédales. Elle donna un grand coup d’accélérateur et « s’envola » (mouarf ! Faudrait déjà qu’elle puisse ! >_<) à toute vitesse !
Les chaussettes à froufrous roses dans le vent, elle gagnait rapidement la route principale MAIS (oui, y’a encore un MAIS !) elle y aperçut Gackt !
Elle donna un si grand coup d’accélérateur que sa jambe flasque voltigeait dans tous les sens ! Elle roula sur Gackt, descendit de la mobylette et s’approcha en courant du poulhomme tordu de douleur. D’un coup éclair, la petite grosse fit un «160 double flip 360° extremely dangerous which hurt » (un 160 double flip à 360° extrêmement dangereux qui fait mal).
Elle lui pinça le nez, lui flanqua des tartes avec ses mains pleines d’huile et de ketchup, et lui mit ses doigts dans ses yeux (Pourquoi les yeux ? Parce que j’ai lu dans une interview qu’il avait les yeux très fragile !). Elle remonta sur sa pétrolette et flanqua un grand coup d’accélérateur.
Elle sentait les trépidations de son terrible engin lui remonter jusque dans le creux des reins (Serge Gainsbourg power !).
Elle ne reconnaissait plus personne en solex Davidson !
Elle ne voyait plus rien mais c’est parce qu’elle est très très conne.
Bon. Cessons la prose ! Quoique, faisons une fin poétique !
Elle voyait de la lumière au bout de la route, alors elle accéléra.
C’était pas la lumière du paradis mais du warning*, ce qu’elle ne vit pas.
Tant pis pour elle, ce tas de gras.
Tant pis pour elle, elle se trompa !
D’accélérer, elle continua. En haut d’une falaise, elle se croûta.
Tant pis pour elle, Tant pis pour toi,
L’hamburger posé sur ta pétrolette, elle te chipa !Voici la fin, non poétique :
Peggy vit de la lumière au bout de la route, elle croyait que c’était la lumière qu’émettait les panneaux de son fast-food favori alors elle accéléra. Cependant, ce tas de graisse se trompa, c’était un pont non fermé et ce bouli se crasha comme une merde. Merde alors ! Il faut maintenant que je vous avoue que ce n’était pas un vrai film américain puisque tout le monde meurt à la fin !